Monsieur le Président,
L’intersyndicale (CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, UNSA), au sens des articles L 2121-1 et suivants et L 2111-1 et suivants du code du travail, dépose, conformément aux articles L 2511-1 et suivants du code du travail, par la présente, un préavis de grève à la CCIR de Paris Ile-de-France pour les journées suivantes de 0 heures à 24 heures : mercredi 24 juin 2020, jeudi 25 juin 2020 et vendredi 26 juin 2020, aux motifs exposés ci-après :
– Pour le recours à la mise à disposition statutaire pour tous ceux qui rejoindront le GIE ou l’UGE ;
– Pour le maintien à minima des conditions d’emploi actuelles pour tous les agents et salariés des fonctions support qui rejoindront le GIE ;
– Pour le maintien à minima des conditions d’emploi actuelles pour tous les agents et salariés qui rejoindront l’UGE ou les futures EESC ;
– Pour une compensation dans le cas d’une éventuelle perte de la qualité d’agent public ;
– Pour l’ouverture de négociations sur les conditions d’emploi des salariés recrutés par le GIE et les EESC à partir du 1er janvier 2021.
Ce préavis couvre tous les personnels de la CCIR Paris Ile-de-France.
Conformément à l’esprit des textes, nous appelons la Direction de la CCIR Paris Ile-de-France à mettre à profit le délai de 5 jours francs pour engager avec l’intersyndicale des négociations.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre considération distinguée.
CFE-CGC CCI– CFTC CCI – CGT CCI PIDF– FO CCI – UNSA CCI
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Giacometti Pierre
2, rue des Bûcherons
20 000 Ajaccio
@ : focci.sg@gmail.com
Á l’attention de Madame El Khomri
Ministre du Travail, de l’Emploi,
de la Formation professionnelle et du Dialogue social
127, rue de Grenelle 75007 PARIS 07
Ajaccio, le lundi 20 février 2017
Objet : Chambres de Commerce – Demande d’audience pour report des élections des représentants du personnel et ouverture d’un processus législatif afin de définir les droits syndicaux.
Madame la Ministre,
Du 9 au 14 mars se tiendront les élections des représentants des personnels des CCI. Il s’agit d’élire les représentants en Commission Paritaire Nationale (CPN) et en Commission Paritaire Régionale (CPR).
Le 17 octobre 2016, une seule organisation syndicale qui ne représente pas plus de 20 % des votants a adopté le protocole d’accord. Le 18 janvier 2017, plus de 2 mois après l’adoption du protocole d’accord, CCI-France et la tutelle, décident d’appliquer un arrêt du Conseil d’État vieux de 20 ans qui stipule que l’ensemble des textes qui régissent nos droits syndicaux ont été adoptés illégalement. Tutelle et CCI France en profitent pour modifier les règles de désignation des délégués syndicaux.
Nous nous permettons de vous interpeller car nous contestons le mode d’adoption du protocole électoral et surtout le contexte dans lequel se déroulent les élections :
Je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de notre considération distinguée.
Les élections approchent et nous considérons qu’elles ne peuvent pas se dérouler dans de telles conditions. C’est pour ces raisons que nous nous adressons à vous pour demander audience.
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Lundi 14 mars 2016
À l’issue de la présentation de cette nouvelle mouture, le premier ministre a appelé les partenaires sociaux à donner « un nouveau départ » au projet. Les syndicats « réformistes », c’est-à-dire la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) et la Confédération française de l’encadrement (CFE-CGC), la Confédération française démocratique du travail (CFDT), ont estimé que les propositions allaient dans le bon sens.
En revanche, la Jean-Claude Mailly, secrétaire générale de Force ouvrière (FO) a pour sa part indiqué qu’il maintenait sa demande de retrait du texte.
La Confédération générale du travail (CGT) a aussi fait état d’un désaccord de fond et déplore notamment l’absence d’intégration du compte épargne temps dans le compte personnel d’activité (CPA).
Jean-Claude Mailly @jcmailly
Je viens de confirmer au Premier Ministre, au nom de FO, faute de suspension, la demande de retrait du projet de loi
15:27 - 14 Mars 2016
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27 février 2016
La ministre du travail doit présenter, le 9 mars 2016, en conseil des ministres, un projet de loi qui découle des propositions du groupe de travail de Badinter.
Ce projet bouleverse l’ensemble les fondements même de l’édifice des acquis sociaux depuis plus d’un siècle :
Nous, partenaires sociaux, prenons nos responsabilités en dénonçant la tentative éhontée d’une refondation unilatérale du Code du travail.
Il est de notre devoir de rappeler que :
Dans les conditions actuelles, nos organisations syndicales ne peuvent qu’afficher leur désaccord et refus fondamentaux sur les orientations prises par ce gouvernement.
Le Medef avec un certain nombre de libéraux convaincus saluent des avancées alors qu’ils viennent de laisser dépecer leur/notre réseau consulaire.
Ceci ne fait que renforcer notre certitude : le droit du travail doit rester orienté vers la protection et la promotion des travailleurs.
En conséquence, nous déclarons :
Téléchargez la déclaration
Prenez connaissance du tract national de FO sur les conséquences de la signature par la CFDT, CGC et CFTC.