Jean-Claude Mailly France Inter (27 août 2014 ) : “Il est un des pères du Pacte de Responsabilité”
E. Macron Le Point (28 août 2014) :
- “Nous pourrions autoriser les entreprises et les branches, dans le cadre d’accords majoritaires, à déroger aux règles de temps de travail et de rémunération.” ,
- “… sortir de ce piège où l’accumulation des droits donnés aux travailleurs se transforme en autant de handicaps pour ceux qui ne travaillent pas.”
- ” La France souffre “de deux problèmes spécifiques et endémiques : notre compétitivité, particulièrement dégradée, et notre déficit budgétaire.”
Le 28 août 2014, dans l’article du Monde sur l’université du MEDEF sous le titre : “Pierre Gattaz très satisfait du remaniement”
- “Résultat de cette bonne entente entre le patronat et le gouvernement, M. Gattaz devrait décerner un satisfecit aux réformes menées jusqu’ici, notamment le pacte de responsabilité et ses 40 milliards de baisses de charges et d’impôts. « Le point de départ de la France est catastrophique, mais je dis bravo au pacte de responsabilité », martèle sans cesse Pierre Gattaz, qui n’hésite pas à vanter le « courage » de Manuel Valls.”,
- ” Au Medef on ne cache pas sa satisfaction de voir écartés les ministres les plus sceptiques, et notamment Arnaud Montebourg. « C’est une bonne décision », ne mégote pas en privé Pierre Gattaz.”
- “En attendant, le patron des patrons devrait se contenter de présenter à Manuel Valls un plan à beaucoup plus long terme. Baptisé France 2020, il est assez large et prospectif pour ne fâcher personne, et notamment la CFDT. Ce syndicat est en effet le seul à accepter de s’engager dans la négociation sur les seuils sociaux qui doit s’ouvrir en septembre et dont M. Gattaz attend un assouplissement des contraintes pour les entreprises de plus de 50 salariés.”
Le 28 août 2014, dans l’article du Monde sur la participation de Manuel Vals à l’université du MEDEF sous le titre : “« Standing ovation » pour Manuel Valls à l’université d’été du Medef”
- “Parmi les pistes que M. Valls a évoquées devant le Medef, une possible réforme des seuils sociaux, qu’il a qualifiée de « légitime ». Ces seuils soumettent les entreprises à des obligations au-delà d’un certain nombre de salariés. Le patronat y voit un frein à la croissance et à l’embauche. Le premier ministre a également souhaité une « simplification active dans tous les domaines » y compris « le code du travail » et a laissé entendre que les règles « relatives au travail du dimanche » vont être allégées.”
Le 28 août 2014, dans l’article de l’Acteurs publics sur la participation de Manuel Vals à l’université du MEDEF sous le titre : “Au Medef, Valls promet une simplification administrative « dans tous les domaines »“.
- “Cela n’est pas facile de faire des économies, a-t-il poursuivi, je pense notamment aux collectivités territoriales. Je vois le débat concernant les économies demandées dans les CCI. Nous sommes tous favorables à la réduction des déficits et des économies, mais jamais pour soi-même…”
Le 27 août 2014, dans l’article des Échos sur la passation de pouvoir entre E. Macron et A. Montebourg :
- “Lors de sa première expression publique, le nouveau ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, s’est paradoxalement inscrit ce mercredi dans la continuité de son prédécesseur, remercié du gouvernement.”
- “Emmanuel Macron était le rapporteur de la commission Attali en 2008 sur la « libération de la croissance » qui recommandait des évolutions fortes en la matière.”
Le 28 août 2014, dans l’article des Échos sous le titre : “Près de 30 milliards d’euros de profits pour les entreprises du CAC 40”
- “Les bénéfices des ténors de la cote ont atteint presque 30 milliards d’euros, alors que la quasi-totalité des sociétés de l’indice vedette ont publié leurs résultats. Les grands groupes ont, dans l’ensemble, confirmé leurs perspectives.”
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“Des bénéfices en hausse, en excluant les bancaires
Les groupes du CAC 40 – 37 sociétés, les résultats de Vivendi étant attendus ce jeudi soir, tandis que Alstom et Pernod-Ricard ont des exercices décalés – ont enregistré un bénéfice net agrégé de 29,5 milliards d’euros en léger recul de 2,2%, selon les données de Ricol Lasteyrie pour «Les Echos». Mais BNP Paribas, dont les comptes été grevés par une amende record aux Etats-Unis , a pesé lourd. En l’excluant, les profits des stars de la cote auraient grimpé de 20%.”